Vous avez certainement déjà lu un grand nombre d’articles sur l’optimisation de contenu.
Cependant, à mon avis, la technique la plus efficace pour optimiser le contenu est toujours gardée secrète.
Prérequis de l’optimisation d’un contenu

Bien entendu, le pré-requis reste de proposer dans son contenu tous les mots clés sur lesquels on souhaite être positionné.
Mettez dans votre texte plusieurs questions, adjectifs, et rentrez dans le champ lexical de l’expression clé ciblée.
Il existe une tonne d’outils de référencement pour le faire si vous manquez d’inspiration.
Contexte concurrentiel

À des conditions concurrentielles, il existe souvent des centaines ou des milliers de pages ciblant le même terme.
Ils ont tous dans le H1, leur TITLE et leur contenu la phrase clé ciblée. Dans ce contexte, Google parvient assez facilement à discerner le sujet principal du contenu, vous ne trouvez pas ?
L’analyse du « triplet du bourrin » est certes anecdotique…
La question

Par conséquent, la question que tous les référenceurs devraient se poser est : « Mais comment Google sépare-t-il le bon grain de l’ivraie ? ».
J’exclus volontairement les critères hors page, comme le réseau interne, le netlinking ou encore le trafic.
Les spammeurs

Comme presque toujours en SEO, il faut commencer par l’activité des « spammeurs ». J’utilise ce terme provocateur volontairement pour faire un raccourci.
J’entends par là les « mauvais » référenceurs qui essaient simplement de se classer le plus rapidement possible avec des sites et du contenu « de mauvaise qualité » pour gagner de l’argent pour la publicité et l’affiliation. Pour comprendre Google, il faut savoir penser comme Google.
Pour comprendre comment optimiser le contenu, vous devez faire ce que les spammeurs ne font pas.
La solution n’est donc pas vraiment dans le choix des mots mais dans le revêtement. (Aussi, il y aurait un super article à écrire sur le choix de certains mots bien précis…)
Optimisation classique d’un contenu

Optimisation classique d’un site
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Que ne fait pas un spammeur ?
Je ne ferai pas la liste complète car je suppose que vous comprenez.
Pourquoi ne pas faire tout cela ? Parce que cela prend du temps et n’aide pas directement le référencement.
Algorithmiquement, il est alors trivial de distinguer 2 contenus (ou sites) selon ces critères.
Vous vous tirez une balle dans le pied
Utilisez-vous WordPress avec un thème gratuit ? C’est comme se présenter à un match de football professionnel sans points ou à la finale du 100 m sans points.
Vous souvenez-vous de ma série d’articles sur les problèmes d’indexation ? Une particularité de la plupart des sites qui ont des difficultés ? Wordpress ^^
Vive l’empreinte HTML unique
L’empreinte HTML unique vous permettra d’envoyer un signal fort à Google.
Pour l’obtenir, il suffit d’inverser tous les points de la section « Qu’est-ce qu’un spammeur ne fait pas ? »
Concrètement, votre contenu doit donc comporter plusieurs images uniques (ce qui n’est plus un problème grâce à D***** ou J*****A**), comporter des liens internes et avoir un texte bien supérieur à 300 mots ( pour la plupart des questions).
Quant à l’optimisation structurelle, cela signifie tout dans votre article (en-tête, barre latérale, pied de page) :
Quant au CMS, n’en concluez pas que Google pénalise WordPress. Ce n’est absolument pas ce que je pense.
43% des sites Web dans le monde fonctionnent sur WordPress. Si vous voulez vous démarquer, c’est un mauvais début. Capitaine?
Être différente, unique, la vache violette, ça vous parle ?
Alors, ça risque de vous faire mal au cul, mais oui, votre page de mentions légales mérite bien les 500 liens internes du pied de page de vos 500 pages.