L’actualité de l’été est marquée par les inconduites sexuelles

Le hockey canadien, Simon Houle, Philippe Bond, etc., ont un point commun : ils sont des acteurs importants de notre actualité estivale. Et nous ne voulons pas en parler pour de bonnes raisons : ils sont tous liés à différents types de harcèlement sexuel.

Après que #MeToo existe depuis quelques années, nous sommes nombreux à être convaincus que nous comprendrons enfin que le harcèlement et les agressions sexuelles n’ont pas leur place dans notre communauté, et que ces symptômes sont sévèrement punis, d’abord par la société puis par la justice.

Des responsables bien connus et bien connus ont été postés, traduits en justice et rejetés par leur communauté et leur communauté. Pourquoi alors certains continuent-ils à se permettre de faire des commentaires inappropriés, à avoir les mains baladeuses et à se passer de sanctions adéquates ?

C’est aussi l’histoire du fascinant Simon Houle, cet ingénieur errant qui a reçu sa libération du juge Poliquin, un verdict vivement critiqué de part et d’autre à cause des arguments présentés par le juge uniquement à cause de la facilité donnée.

Il suffisait à cet animal de trouver un autre animal, sous le soleil brûlant, se voyant comme omnipotent et intangible. A cet égard, il n’est pas le seul à ne pas avoir compris que notre société et nos tribunaux ont exprimé à plusieurs reprises des condamnations et des sanctions, sans nuance, pour ces agissements. Le juge lui-même ne semble pas avoir accepté le mémo.

Je pense aussi à cette gynécologue d’un hôpital juif qui a un programme professionnel qui doit rapidement renoncer à son droit d’exercice pour, encore une fois, dire du mal de la patiente. Elle avait déjà été excommuniée pendant deux ans pour du matériel sexuellement explicite et, dès qu’elle a retrouvé la raison, elle a senti qu’elle pouvait reprendre ses anciennes habitudes !

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Ce ne sont là que deux exemples récents d’allégations de récidive flagrante. Combien y en a-t-il vraiment ? Certains n’ont pas encore terminé leurs cours de #MeToo.

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