Miss France 2002, aujourd’hui ancienne directrice générale de la société Miss France, s’est confiée à « Paris » sur son départ et l’avenir du concours.
Sylvie Tellier s’apprête à dire au revoir à Miss France. Si elle passe officiellement le flambeau à Cindy Fabre à la tête de la société Miss France en septembre dernier, elle participera à l’élection de la reine de beauté 2023 le samedi 17 décembre à Châteauroux en tant que présidente d’honneur. Les règles du concours ont beaucoup changé depuis son départ (par exemple, il n’y a plus de limite d’âge). Et il a exprimé des réserves sur certains points, mais n’a pas tenté de critiquer le travail d’Alexia Laroche-Joubert, présidente de la société Miss France, et de Cindy Fabre. « Je ne jugerai pas les nouvelles règles. Chaque changement est bon. Tu vas te taire », a-t-il déclaré au Parisien, mercredi 14 décembre.
Au cours de cet entretien, Sylvie Tellier est également revenue sur la conférence de presse qui a suscité la polémique, puisqu’elle a brièvement côtoyé Alexia Laroche-Joubert : « Je trouve que c’est très bien qu’elle ait reconnu l’erreur sémantique en disant que je ne produis pas d’émissions alors que j’ai un œil d’artiste. »
« J’ai été vexée »
Depuis ce petit incident, tout est rentré dans l’ordre entre les deux femmes. « Je suis déçue que nous travaillions tous ensemble. Ce n’est pas que nous soyons en désaccord que nous sommes en tension. Et je suis très heureuse d’être à nouveau Miss France 2002 », a ajouté Sylvie Tellier.
Au moment de tourner définitivement la page, la demoiselle nourrissait quelques regrets. Surtout ne pas voir Diane Leyre, l’actuelle Miss France, concourir pour Miss Univers 2023 et donc ne pas pouvoir l’accompagner dans cette grande compétition internationale. Sylvie Tellier garde cependant parmi ses meilleurs souvenirs la victoire d’Iris Mittenaere dans le même concours en 2016.
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