Nice : Parentalis, la première application créée par un pédiatre pour faciliter la parentalité

Obtenir une réponse d’un pédiatre 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, à tous les problèmes ou inquiétudes concernant votre enfant lorsque vous êtes parent, c’est un peu rêver. Parentalis en fait alors une réalité. « C’est la première application créée par un pédiatre pour les parents », explique Aymène Kebaili, 30 ans, pédiatre à Nice.

Il en a eu l’idée en 2021, alors qu’il travaillait en réanimation pédiatrique et pensait avec d’autres collègues que de nombreuses situations dramatiques auraient pu être évitées. « Quand j’en ai discuté avec mes amis, on m’a dit qu’ils auraient les mêmes réflexes que ces parents, poursuit-il. Ce jour-là je me suis dit entre moi et moi qu’il fallait faire quelque chose car tout n’est pas évident et difficile de penser ou de tout retenir.

Avec trois amis, ils se lancent dans la conception d’une application. « Dans l’équipe, il y a deux jeunes parents. Nous avons également été inspirés par leur expérience et leurs difficultés lorsqu’ils ont eu leur fils. Tout le monde a dit le sien. Entre les conseils d’amis, de famille, le fait qu’on ait oublié ce qu’a dit le médecin, puis maintenant, tout ce qui circule sur Internet, il faut s’arranger », explique le pédiatre.

Un outil « moderne »

Un outil « moderne »

L’application Parentalis se présente comme « un outil moderne, adapté aux jeunes parents, qui peut toujours avoir à portée de main des réponses à leurs questions à portée de main. C’est aussi pour cette raison que, lorsqu’on arrive sur la page d’accueil, on arrive directement sur une barre de recherche », précise Aymène Kebaili.

Le reste du contenu est divisé en deux catégories : des fiches « symptômes », distinguées par des couleurs pour savoir si c’est « très grave » ou « voyant » et selon l’âge de l’enfant « moins de trois mois » ou « plus de trois mois », et des fiches « conseils », notamment sur les aliments à éviter à un certain âge ou encore les meubles nouveau-nés à se procurer (ou pas). « Ce sont toutes des questions du quotidien avec des éléments clairs, pragmatiques et précis », insiste le médecin. Renvoie aux dernières recommandations des autorités sanitaires et aux sources de chaque article.

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Le Niçois souligne toutefois que l’action n’a pas vocation à dématérialiser la concertation, qui reste pour lui, « essentielle ». « Il suffit de former et d’informer au maximum les parents pour qu’ils se sentent à l’aise dans leur éducation et rassurés grâce au maximum de connaissances qu’ils peuvent acquérir grâce à l’application. »

Plus de 3.000 téléchargements en trois jours

Et la connaissance a un coût. L’abonnement pour accéder à tous les fichiers s’élève à 5 euros par mois. « Pour que l’application fonctionne, il fallait mettre un prix. D’autant plus que nous avons décidé de ne pas afficher de publicités à l’écran pour ne pas brouiller le message et protéger les données personnelles de nos utilisateurs. Nous ne demandons qu’une adresse e-mail. L’un des membres de l’équipe est un avocat spécialisé dans le droit des données personnelles. Et puis, on fait tout sur notre temps libre. Pour développer l’application, nous ne pouvons pas compter sur nos fonds personnels. »

En trois jours, Parentalis a connu un succès fulgurant et « inattendu », notamment deux vidéos live postées sur Facebook où le pédiatre a répondu aux messages, avec plus de 3 000 téléchargements, dont 10 % d’abonnements payants. « Cela montre aussi qu’il y a un vrai intérêt, un vrai besoin et que nous répondons à une vraie demande », a conclu Aymène Kebaili.

Le reste du projet serait alors de vraiment améliorer l’application au niveau du design et de toutes les fonctionnalités, permettre le suivi et les gens de s’en occuper à plein temps. Le co-fondateur assure que, « pour le bon fonctionnement de Parentalis », il reste en tout cas pédiatre.

Les objets tranchants, tels que les couteaux et les rasoirs, doivent toujours être rangés hors de portée. Les aimants, même les aimants jouets, peuvent être extrêmement dangereux s’ils sont suffisamment petits pour être avalés.

Quels sont les 3 types de risques ?

Quels sont les 3 types de risques ?

DÉFINITION GÉNÉRALE DU RISQUE MAJEUR

  • risques naturels : avalanche, feux de forêt, inondations, avalanches, cyclones, tempêtes, tremblements de terre et éruptions volcaniques.
  • les risques technologiques : d’origine anthropique, comprennent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage, etc.
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Comment classer les risques ? Les risques sont classés selon leur gravité, leur probabilité d’occurrence et le nombre potentiel de salariés concernés. EvRP vise également à mettre en place des actions préventives. Ces actions ne dispensent pas l’entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.

Quel sont les différents types de risques ?

Il existe deux grandes familles de risques : les risques naturels (inondations, séismes, tempêtes, cyclones, avalanches, avalanches, feux de forêt, volcanisme) et les risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matières dangereuses, rupture de barrage).

Quand ne plus craindre la mort subite du nourrisson ?

Quand ne plus craindre la mort subite du nourrisson ?

Il s’agit de la mort subite d’un bébé, jusque-là considéré comme en bonne santé, dans son sommeil. 90% de ces décès surviennent avant l’âge de 6 mois. Au-delà, le risque diminue mais persiste jusqu’à 18 mois.

Comment ne plus avoir peur de la mort subite du nourrisson ? Il est important de tout mettre en œuvre pour éviter les facteurs de risque de cet événement dramatique, ce que vous faites très bien. Il ne fume pas, aère sa chambre, dort sur le dos sur un matelas ferme, a une tétine etc. Il aura bientôt 6 mois, le risque va diminuer.

Quel âge pour mort subite du nourrisson ?

Âge : La mort subite du nourrisson survient avant l’âge de 1 an, souvent entre 2 et 4 mois.

Quels sont les facteurs de risque de la mort subite du nourrisson ?

Facteurs de risque de maturation du syndrome de mort subite du nourrisson des fonctions vitales majeures ; pathologies infantiles ; l’environnement des jeunes enfants, y compris les conditions de sommeil et l’environnement de sommeil.

Pourquoi le rapport 1000 premiers jours ?

Pourquoi le rapport 1000 premiers jours ?

Toutes les études montrent que les 1000 premiers jours de l’enfant constituent une période essentielle au bon développement et à la construction de l’enfant. Cette période conditionne la santé et le bien-être de l’individu tout au long de sa vie.

Pourquoi le rapport 1000 jours ? Les 1000 premiers jours sont donc essentiels, pour son développement mais aussi pour la santé globale de l’adulte à faire. Le ministère des Solidarités et de la Santé est celui qui prend soin des Français, du premier au dernier souffle.

Pourquoi le Tout-petit est vulnérable ?

Dès sa naissance, l’enfant est plongé dans un monde fait d’adultes et pour eux. Sa taille, ses capacités physiques et psychologiques ne lui conviennent pas et le rendent donc particulièrement vulnérable. A chaque étape de son développement psychomoteur, un nouveau monde s’ouvre à lui et autant de risques inconnus.

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