S01E16. Temps agités à la SPA • Projet immobilier StarDock avec une idée concrète • Une master class sur la démocratie participative… mais d’un initiateur • Un nouveau demi-cycle pour Strasbourg.
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La story de la semaine

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Hier à 4:00
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| mis à jour hier à 6h55
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L’autre histoire de la semaine
Le SPA dans la gueule du loup. La municipalité de Strasbourg a décidé de jouer au lapin à la SPA, la Société protectrice des animaux, située à Cronenbourg, à l’arrière d’un célèbre magasin de meubles en kit. Le lapin en question ? La suspension de la subvention annuelle dépend de l’association qui récupère les animaux abandonnés. Un geste fortement justifié par de nombreuses carences et dysfonctionnements au sein de l’association selon la Ville : absence de consignes sanitaires, morsures de chiens (sauvages) sur des bénévoles, séjour illégal d’un bénévole sur le site, lâcher de chats dans la nature… l’arrière-plan. conflit interne au sein du conseil d’administration. La SPA se justifie et répond point par point aux accusations.
Le chiffre de la semaine
Pour mémoire, le meme original s’appelle « Buff Doge vs Cheems ». ADN / MP
L’autre chiffre de la semaine
La situation n’est pas nouvelle. Depuis des années, l’association est régulièrement critiquée pour la mauvaise qualité de l’accueil, par exemple. Cette dernière affirme avoir pris des mesures, notamment pour mieux structurer son organisation interne.
La citation de la semaine
Assez pour convaincre le maire ? Cela passe désormais par la mise en place rapide d’une médiation pour remettre l’association sur les rails. Et rouvrir la bourse des subventions.
Toujours est-il que concernant ce dossier, la Ville a agi en catimini, sans jamais évoquer la suppression de cette subvention en conseil municipal. Bien sûr, elle n’était pas obligée. Mais sur le sujet sensible de la causalité animale, appeler un chat un chat plutôt que de jouer à l’autruche peut sauver quelques égratignures.
L’image de la semaine
Sous le pont Bord, le premier chantier en « véritable loyer solidaire », de l’opération StarDock. Photo ADN / Didier ROSE